EXCLU : Le blog a enfin l’explication sur le retard de la publication des comptes d’Atos – La traversé de l’Atlantique à la voile de JP a été plus longue que prévue…

 

Alors que courant janvier, tout le monde cherchait Jean-Pierre Mustier, Les Echos nous apprenaient dernièrement que ce dernier réalisait la traversée de l’atlantique à la voile, raison principale pour laquelle la réunion de la dernière chance Kretinky-Mustier n’a jamais eu lieu.

Durant le mois de janvier un journaliste avec qui j’entretiens des relations cordiales, mais peu bavard m’envoie pourtant un message : “Avez-vous des nouvelles de Jean-Pierre Mustier? Chez nous personne ne sait où il est. On ne sait même pas s’il est à Paris ou à Londres?” Je répondis que j’allais lui poser la même question, mes contacts n’ayant pas non plus d’informations à son sujet et aucune nouvelle de JP.

Finalement, vous l’avez appris par LES ECHOS, JP a entrepris courant janvier la traversée de l’Atlantique à la voile en pleine “négos Kretinsky” d’où le fait que la réunion “de la dernière chance” était un mythe et n’avait en fait aucune chance d’avoir lieu.

Le problème de JP, c’est qu’il est trop “optimiste” et qu’il avait sous-estimé la durée de la traversée de l’atlantique à la voile en optimiste et qu’il a été très secoué par la houle. Au final 2 semaines de retard pour sa traversée et il est resté absent plus longtemps que prévu… Quelle idée aussi de partir en Optimiste avec les beaux yachts de plaisance actuels.

Bilan, 3 semaines de retard à l’arrivée à Fort de France, et malgré une bonne rasade de rhum antillais, les comptes, eux, ont dû être décalés.

Sacré JP ! Quel duo de vedettes il forme avec “Mr 99%” !

Note 1 : pour les non-marins, l’embarcation en photo d’illustration s’appelle “optimiste”.

Note 2 : hormis pour l’embarcation utilisée en illustration, il ne s’agit pas d’un article canular, Jean-Pierre Mustier a bien réalisé la traversée à la voile de l’atlantique au moment des réunions de la dernière chance avec Kretinsky, raison en particulier pourquoi cette réunion de la dernière chance n’a pas eu lieu.

Note 3 : je ne pense pas que cette croisière ait eu un impact sur le retard de la publication et à ce titre, c’est un article canular. Est-ce que ça a joué à la marge dans la décision de non-publication, je n’en sais rien.

Note 4 : c’est la confirmation qu’il n’y a jamais eu de réelles volontés d’arriver à un accord, fin décembre la décision a été prise d’abandonner de manière définitive et irrévocable la scission.

Note 5 : à priori, cette traversée de l’atlantique dont on peut estimer qu’elle a duré 12 jours à minima et 15 jours à maxima était programmée depuis mi-novembre.

Seuls les actionnaires sont juges s’il était opportun ou non de la maintenir cette croisière. Les voiliers modernes sont équipés de téléphone par satellite et même de l’internet, donc on peut aussi assimiler cela à du télétravail.

Voici la réelle embarcation :

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Si vous avez subi d’énormes pertes sur Atos, sachez qu’une action en réparation est en cours de constitution sur le site Upra.fr (l’Union Pour la Réparation des Actionnaires), pour recouvrer une partie de vos pertes par voie de justice. Cette action sera totalement gratuite pour les plaignants si nous arrivons à trouver le financement auprès de fonds et l’UPRA ne vous demandera aucun paiement ni cotisation ou autres.

Mais pour des raisons de couts de procédure, elle est réservée aux personnes ayant subi des pertes supérieures à 10 000€, sinon les coûts judiciaires, avocats, expertises, etc… en millions d’euros seraient supérieurs à la perte et ne seraient pas rentables pour le fonds qui financera ce recours. Soyez assuré qu’il ne s’agit pas de snobisme, mais réellement de contraintes financières.

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