J6M (Jean Marie Messier Moi-Même Maitre du Monde), un des coûteux conseillers de Meunier sur le deal Kretinsky.
Nous avons pensé qu’il était capital pour nos jeunes lecteurs de faire un petit flashback en 2002.
Le groupe Vivendi-Universal sous la direction de Jean-Marie Messier depuis 1996 (surnommé par les Guignols de l’info “J6M”) est au bord de la cessation de paiement et son PDG fanfaronne devant les actionnaires à l’AG du 5 mars 2002 (cela ne vous rappelle rien ? “La gouvernance d’Atos a une feuille de route très claire et les actionnaires requérants cherchent à déstabiliser Atos” B.M.)
Malgré un RN 2001 en perte de 13.6Md€, qualifiées “de simples dépréciations purement comptables, destinées à nettoyer les comptes” selon JM Messier, il prononce cette fameuse phrase resté culte dans l’histoire boursière, lorsqu’un analyste lui pose une question sur la solidité financière de Vivendi-Universal.
Il répond à l’analyste : “VIVENDI VA MIEUX QUE BIEN !”.
La suite, vous la connaissez, en mai 2022, le groupe est au bord de la faillite et s’apprête à faire défaut sur sa dette. Des administrateurs lâches qui démissionnent au lieu d’assumer leurs responsabilités, car amis personnels de JMM tel Bernard Arnault, et finalement les membres restants du conseil d’administration se désolidarisent de JM Messier et lui montrent la porte. Il finit par démissionner en activant un parachute doré de 18M€ qui sera finalement annulé par la justice 2 ans après.
Assigné au pénal par les petits porteurs, 10 ans après, JM Messier est finalement condamné à 3 ans de prison avec sursis et une dérisoire amende, 150 000€.
Espérons que les juges seront aussi sévères avec Bertrand Meunier.
Finalement, 15 ans après, le scandale Vivendi a été oublié et JM Messier a créé sa banque d’affaires, et le croyez-vous, il est devenu incontournable sur la place parisienne, avec 70M€ de commissions en 2022.
Et parmi ces commissions, il y a les honoraires facturés à Bertrand Meunier pour le deal Kretinsky.
En effet, notre président fait partie des pigeons de l’ancien escroc (car comme Meunier, il y a ruiné des milliers de PP via des communications financières outrageusement mensongères à l’instar de celles de Bertrand Meunier). On peut penser que 5 à 10M€ d’honoraires ont été facturés par Jean-Marie Messier à Atos (estimations).
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Malheureusement, on s’aperçoit que le conseil d’administration ne sert presque à rien dans une entreprise où 99% du pouvoir est entre les mains du président. C’est un organe totalement inutile qui sert uniquement à gaver de jetons de présences des administrateurs corrompus. En l’occurrence Bernard Arnault, Bébéar et 2 autres administrateurs n’ont même pas eu le courage de démettre Jean-Marie Messier. Ils ont passé leur tour et démissionné, comme Edouard Philippe en juin dernier, quittant le navire avant le naufrage. Ce sont finalement les 9 administrateurs restants, qui n’ont pas eu d’autre choix, que de révoquer Jean-Marie Messier, car la société aurait probablement dû déposer le bilan sous quelques semaines sans l’électrochoc du changement, à savoir la nomination immédiate de Jean-René Fourtou, jeune retraité dans le rôle du trader qui a débouclé les positions de Kerviel et qui a immédiatement vendu des actifs et réussi à sauver le groupe, qui n’a finalement jamais eu de procédures collectives.
En conclusion, il a fallu que la société soit en état de dépôt de bilan pour que les administrateurs réagissent. Trop tard bien entendu, de 150€ le cours s’est effondré à 10€. Vivendi n’a jamais dépassé depuis les 20€ même après son redressement et comme Atos, elle est descendue jusqu’à -90%.
A n’en pas douter, le CA mafieux d’Atos, fera de même, il ne démettra Meunier que lorsque Atos sera en procédure de conciliation…
Vous comprenez mieux pourquoi l’UDAAC veut virer Meunier et une partie importante du CA.
J’ai sélectionné deux articles très intéressants de l’époque que je vous invite vivement à relire, tellement ils sont connectés au cas Atos et que je vous recommande vivement après cette courte vidéo rappelle qu’il n’y a pas d’impunité pour les menteurs.
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Un vrai compte de fées
Le 5 mars 2022, malgré 13,6 milliards d’euros de pertes, Jean-Marie Messier l’assure: son groupe «va mieux que bien».
par Nicolas Cori et Nathalie BENSAHEL
Les actionnaires de Vivendi Universal (VU) seront sûrement contents d’apprendre que le groupe dont ils détiennent des titres affiche pour son exercice 2001 une perte nette de 13,6 milliards (soit, pour les archaïques, 86,5 milliards de francs). Ce sont les pertes les plus monumentales qu’une entreprise française ait jamais annoncées. Mais pour Jean-Marie Messier, le PDG de Vivendi Universal, tout cela n’est pas grave, puisque «[son] groupe va mieux que bien».
Hier, à l’occasion de la présentation de ses comptes annuels, «J2M» a déployé tous ses charmes toujours mince et bronzé dans un franglais de circonstance pour servir un charabia comptable de premier choix. Cela suffira-t-il pour rassurer les investisseurs américains qui lui ont reproché ces derniers temps sa façon peu orthodoxe de livrer ses résultats ?
«En phase». En ouverture de la séance organisée au siège de VU à Paris, Messier déroule les bonnes nouvelles : «Les résultats sont en phase avec l’objectif, a-t-il expliqué. On avait prévu une hausse de 10 % du chiffre d’affaires et nous avons tenu le cap. Sur le plan opérationnel, on a dépassé la totalité de nos objectifs, on a gagné des parts de marché dans tous nos métiers. Et tout cela qualifie un groupe qui va mieux que bien.»
Le gros morceau de l’affaire arrive en deuxième partie de spectacle. Et là, Messier, un peu moins arrogant, met un tas de formes avant d’afficher le vrai chiffre qui fait mal : les comptes 2001 doivent digérer une «charge exceptionnelle de 15,7 milliards d’euros» au titre des survaleurs (lire ci-contre). «On a fait le choix de se débarrasser une fois pour toutes de la surévaluation de nos actifs, pour amener notre groupe à une valeur de marché prudente, a-t-il déclaré. Ce n’est qu’un jeu d’écriture qui ne correspond à aucune sortie de cash et à aucune destruction de valeur.» Et dans un souffle à peine audible, il ajoute que tout cela se traduira par une perte nette de 13,6 milliards d’euros pour le groupe. Dans le détail, c’est Canal + qui plombe le plus les résultats pour 6 milliards d’euros. Devant les différentes activités de Universal, musique et cinéma notamment, et les télécoms (Cegetel).
«Opération vérité». Pour Messier, pas de lézard. La situation aurait été bien pire si la fusion Vivendi-Seagram-Canal + n’avait pas eu lieu. Il en tient pour preuve une sorte d’analyse scientifique du consensus de marché, qui dit que la valeur d’actif net par action de VU dépasse de 5 à 10 euros celle de Vivendi en solo. On croit rêver lorsque l’on sait que depuis cette opération de génie, le cours de VU a perdu 50 % de sa valeur, passant de 95 à 47 euros hier.
Sans perdre son aplomb, Messier, qui n’a cessé de réaffirmer que tout cela n’était qu’une question d’écriture comptable, poursuit son full disclosure (opération vérité) : «On rend publique l’intégralité de nos risques, au-delà de ce que nous demandent les autorités de marché.» Vivendi a même rédigé une note publique, les Ten Important Accounting Answers (les dix plus importantes réponses sur les comptes), qui détaille les engagements hors bilan du groupe, à propos desquels il a été souvent mis en cause dont les facilités de paiement pour que Seagram finance ses films.
Et histoire d’être encore mieux compris de son assistance, Messier répète régulièrement ses explications en anglais. Exemples : la prise en compte du goodwill devient le «write off non cash sur le goodwill». Et tous les chiffres sont présentés à la fois selon les normes comptables françaises et américaines (US GAAP, Generaly Accepted Accounting Principles).
Boîte noire. En ces temps d’«enronite» et de défiance généralisée à l’égard des comptes bricolés, la performance de Jean-Marie Messier est une perle du genre. L’exercice d’hier consistait à relativiser les chiffres qui dérangent et à ne jamais rentrer dans la boîte noire des comptes. Et aux questions dérangeantes, notamment sur le niveau de ses fonds propres (la vraie valeur de son entreprise), Messier s’en est tiré par une pirouette.
Le PDG espérait s’en sortir par une bonne humeur à toute épreuve et par un dégagement sur les mal-intentionnés qui lancent de vilaines rumeurs sur VU : «On se bat tous les jours pour la gestion de notre groupe. Il n’est pas acceptable que les hedge funds (fonds spéculatifs) lancent des rumeurs pour se faire de l’argent sur le dos des actionnaires.» Le pire de cette affaire, c’est que le marché, qui a déjà beaucoup gobé, pourrait encore une fois applaudir des deux mains le numéro d’embrouille du plus américain des PDG français.
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Messier et Vivendi: jusqu’ici tout va bien…
Tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler… Jean-Marie Messier avait-il mûri sa petite phrase ou bien l’a-t-il improvisée, en ce début mars 2002 ? Vivendi Universal « va mieux que bien », déclare son PDG alors qu’il commente les résultats annuels du géant des médias – une perte abyssale de 13,6 milliards d’euros.
Son aplomb est lié à son tempérament – rien n’a jusqu’à présent résisté à l’ambitieux quadragénaire– et au fait qu’il s’agit pour l’essentiel d’un résultat comptable. Le groupe a en effet décidé d’amortir d’un coup les écarts d’acquisition liés à ses nombreux investissements passés. La Commission des opérations de Bourse (COB) vient de l’obliger à intégrer dans ses comptes sa participation dans le britannique BSkyB et c’est pour masquer la perte qui en résulterait que Vivendi réalise ce grand ménage bilanciel.
Mais ce qui voulait passer pour une forme de décontraction rassurante se révèle être une magistrale erreur de com’. Jean-Marie Messier a déjà perdu la confiance des marchés financiers et d’une partie de ses administrateurs qui, c’est nouveau, lui demandent des comptes sur la manière dont il gère Vivendi. Ils lui reprochent notamment le niveau de la dette du groupe, bien supérieur à ce qu’ils pensaient. C’est ce qui nourrit leur défiance à l’égard du (trop) médiatique patron. L’endettement à long terme inscrit dans les comptes du 31 décembre 2001 atteint 27,7 milliards d’euros, dont 14,7 milliards liés au pôle médias et communication, et le solde à la filiale Vivendi environnement.
Banques collées. Quelques semaines avant le fameux « mieux que bien », la Bourse avait déjà lancé un avertissement à Jean-Marie Messier. Son groupe qui avait acheté en 2001 environ 65 millions de ses propres actions pour soutenir son cours, après les attentats du 11 septembre notamment, décide de céder l’essentiel de son autocontrôle (55 millions de titres). La vente est annoncée début janvier 2002 et elle tourne rapidement au test grandeur nature sur l’état d’esprit du marché.
L’opération rapporte environ 3,3 milliards d’euros dans les caisses de Vivendi, qu’il faut affecter au désendettement. Mais la manœuvre coûte très cher aux deux banques qui ont pris en charge le placement du titre, Goldman Sachs et Deutsche Bank : elles doivent supporter une énorme perte. En vertu des résolutions adoptées par l’assemblée générale, Vivendi ne peut en effet céder ses actions en dessous de 60 euros l’unité. Or le cours de Bourse a commencé sa descente aux enfers, et les deux établissements se sont retrouvés « collés » avec une partie des titres à placer.
Sur fond d’explosion de la bulle internet, l’histoire s’accélère. Vivendi ne va pas mieux que bien, il va très mal, au point de se trouver quasiment à court de trésorerie en juin. Le 24, l’action s’effondre de 23 % en une séance et tombe en dessous de 20 euros. Clap de fin pour le patron de Vivendi. Son conseil le lâche, Jean-René Fourtou lui succède. La communication de crise a gagné ses lettres de noblesse.
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Jean-Marie Messier condamné
Jean-Marie Messier a été condamné vendredi à trois ans de prison avec sursis et 150.000 euros d’amende par le tribunal correctionnel de Paris. L’ancien dirigeant de Vivendi Universal a été reconnu de “diffusion de fausse information aux marchés et abus de biens sociaux.” Il devrait faire appel.
Trois ans de prison avec sursis et 150.000 euros d’amende. Le tribunal correctionnel de Paris s’est montré plus sévère, vendredi, en jugeant jean-Marie Messier, que le parquet qui avait requis sa relaxe complète au procès en juin dernier. L’homme d’affaires, poursuivi pour des délits présumés au moment des déboires de son ex-société Vivendi Universal en 2002, s’est vu en effet condamné pour “diffusion de fausse information aux marchés et abus de biens sociaux.” Il devrait faire appel, a indiqué son avocat aux médias.
L’ancien dirigeant du fleuron français de la distribution d’eau puis des médias est en revanche relaxé sur l’accusation de manipulation de cours.Pour la totalité des chefs d’accusation, il encourait jusqu’à cinq années de prison et de fortes amendes. On lui reprochait sa communication très optimiste, voire euphorique, sur la situation de l’ancienne Générale des eaux au début des années 2000. Grâce à un jeu subtil sur les normes comptables, le groupe présentait, selon son dirigeant, une “dette zéro”. En réalité, le groupe de “J2M” était assommé par des dettes s’élevant à 35 milliards d’euros. Les juges, qui le qualifient de “prestidigitateur de dettes”, considèrent qu’il a trompé le public et les actionnaires sur l’état financier réel de Vivendi.
Le tribunal retient en outre contre lui le fait d’avoir voulu obtenir sans l’avis préalable du conseil d’administration un “parachute doré” de 18,6 millions d’euros qualifié d'”abus de biens social” par le tribunal. Même s’il a perdu la bataille pour recevoir cette somme, elle a été provisionnée dans les comptes de la société et il y a donc bien eu préjudice, disent les juges.
Un autre jugement aux Etats-Unis
Parmi les six autres prévenus, Edgar Bronfman Jr, directeur général de Warner Music, a été condamné à quinze mois de prison avec sursis et cinq millions d’euros d’amende pour délit d’initié. Au final, c’est lui qui est le plus lourdement condamné. Guillaume Hannezo, ancien bras droit de Jean-Marie Messier, a été condamné à quinze mois de prison avec sursis. Un autre ancien dirigeant de Vivendi, Eric Licoys, est condamné à six mois de prison avec sursis.
Partie civile, la société Vivendi ne demandait pas de réparation à ses ex-dirigeants. Didier Cornardeau, représentant des petits actionnaires qui étaient parties civiles, a quitté le tribunal triomphant, les bras en l’air. “Les chefs d’entreprises qui commettent des délits doivent être lourdement sanctionnés. M. Messier, condamné aujourd’hui, a détruit Vivendi-Universal”, a-t-il dit. En janvier dernier, aux Etats-Unis, un jury populaire a retenu sa responsabilité pour des faits d’information fausse, à la suite d’une procédure en nom collectif (class action). La procédure judiciaire américaine se poursuit.
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Le jour où… « Le Monde » devient le « cauchemar » de Jean-Marie Messier (Extraits)
Il refuse de voir, cependant, les alertes de son état-major. Le 13 décembre 2001, le directeur financier du groupe, Guillaume Hannezo, avait envoyé un mail paniqué à son PDG : « J’ai l’impression déplaisante d’être dans une voiture dont le conducteur accélère à chaque virage et d’être assis à la place du mort (…). Tout ce que je demande est que cela ne se termine pas dans la honte. » La peur d’être emporté dans un scandale saisit les cadres.
[Je pense que vous savez maintenant pourquoi Nathalie Sénéchault est partie !]
Mais le 6 mars, les administrateurs de Vivendi ont découvert la situation que le PDG du groupe leur avait en partie cachée : 13,6 milliards d’euros de pertes, un déficit jamais affiché jusque-là par un groupe français. Le Monde a donc entrepris de relater, presque jour après jour, les analyses financières catastrophées et les discours inquiets d’un monde habituellement feutré.
Claude Bébéar, a décidé de siffler la fin de la partie. Quatre administrateurs de Vivendi, dont Bernard Arnault (LVMH), démissionnent entre mai et juin 2002 pour ne pas cautionner les dérives financières du groupe. Le 30 juin, Jean-Marie Messier, après avoir bataillé tout le week-end pour sauver son poste, est acculé à la démission.
https://www.lemonde.fr/festival/article/2014/05/22/le-cauchemar-de-jean-marie-messier_4422053_4415198.html#:~:text=Festival%20du%20Monde-,Le%20jour%20o%C3%B9…%20%C2%AB%20Le%20Monde%20%C2%BB%20devient%20le,chute%20du%20PDG%2C%20fin%20juin.
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SI VOUS ESTIMEZ L’ATTITUDE DE LA GOURVERNANCE D’ATOS N’EST PLUS TOLÉRABLE, A SAVOIR UNE DESTRUCTION A PETIT FEU DES CAPITAUX PROPRES D’ATOS,
REJOIGNEZ l’association UDAAC, L’union des actionnaires d’Atos en colère et inscrivez vous sur l’agrégateur d’actions pour recenser les promesses d’adhésions.
Nous proposons aux actionnaires révoltés par l’action de cette gouvernance, de participer à la création de l’association “loi 1901” : l’UDAAC [Union des Actionnaires d’Atos en Colère], afin de mandater un cabinet d’avocat spécialisé dans la défense d’actionnaires pour dénoncer la désinformation d’Atos auprès de l’AMF et l’inscription de résolutions afin de destituer Bertrand Meunier et au moins la moitié du board à l’AGE de novembre et bien-entendu, annuler l’AK, les cessions d’actifs bradés et d’annuler le chèque de 1Md€ à Daniel Kretinsky.
Pour cela il nous faut réunir des fonds pour financer ce combat, car l’argent est le nerf de la guerre.
Je propose une participation de 5 cts par action détenue, montants qui seront gérés scrupuleusement par le bureau de L’UDAAC une fois l’association immatriculée en préfecture et les sommes non-utilisées seraient reversées aux membres.
Toutes les candidatures pour le bureau de l’UDAAC sont bienvenues.
Union Des Actionnaires d’Atos en Colère
Association 1901 en cours de création
Je rappele que pour toutes questions, un forum spécifique a été créé: forum.bourse.blog/udaac/
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Très bien ça ne nous rajeunit pas Jean Marie Messier dit J6M pour je n’ Marie Messier moi même maître du monde et sa chaussette trouée