Le 3, un Airbus A320 effectuant le vol ATO 1549 avec management et employés perd ses deux moteurs après l’ingestion de plusieurs volatiles par les turboréacteurs peu de temps après son décollage de l’aéroport de Bezons sur Seine.
Sitôt les moteurs arrêtés, le commandant Breton assure le contrôle aérien et les passagers que tout est nominal et que les repas vont être bientôt servis.
Il quitte le poste de pilotage avec la capsule d’évacuation secrète qui l’accompagne toujours. Il explique à tous qu’il a oublié d’éteindre les phares de sa voiture avant de partir et laisse sa casquette de capitaine à son second et son livre de prière (la “SPRING Bible”).
Le second, le copilote Girard, prend les commandes et constate que l’avion ne monte plus.
Il demande aux passagers de se mettre à l’arrière de la cabine pour lever le nez de l’avion vers le ciel.
L’avion continue de perdre de l’altitude.
Le second quitte à son tour l’appareil, avec le parachute dont il ne sépare jamais.
Un passager prend les commande, un certain Belmer.
Il alerte le contrôle aérien, propose de se poser hors aérodrome.
Alerté, le PDG de Atos Airways, un certain Miller, le pousse par la porte (avec un parachute couleur dorée pour qu’on le retrouve).
Trois passagers anonymes prennent les commandes pour être rapidement remplacés par le PDG.
L’avion poursuit sa descente, les passagers crient, le contrôle aérien exige des mesures.
Miller, le PDG d’Atos Airways est poussé sous un tramway Londonien.
Berneart, un passager qui a vu tous les Top Gun au cinéma prend le manche mais ça ne marche pas comme dans les films. Il a juste le temps de prendre quelques billets dans la caisse de bord avant de sauter en parachute.
Désormais Clint Saleh, stetson sur la tête tient la barre. Le rodéo, il connait. Ce n’est pas quelques oies qui vont décider pour lui. Il vient d’ajuster un bandeau blanc sur son front, avec un rond rouge, pousser le manche en avant et crier “Banzai” !
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